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J'arrive à Pakse dans la matinée. J'ai deux impératifs : mon visa vietnamien et mettre à jour le blog.
Concernant le visa, ce fut le plus rapide jamais obtenu de tout mon voyage : en 15 min, c'était réglé.
Pour ce qui est du blog, ce n'est pas la même affaire.
Je rencontre un couple de Français qui me propose de diner avec eux le soir. A la table : Allemands, Français et Anglais partagent le repas au Panda Café tenu par un laotien d'origine chinoise.
C'était délicieux !
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J'aime dormir dans ce genre d'endroit : aéré, à l'abri d'un éventuel orange (qui n'arrive jamais à cette saison) et surtout, au contact direct de la population.
Je suis très matinal dans cette partie du monde : déjà prèt à 6h.
Une fois la route prise : mission numéro un : trouver une échoppe pour remplir mon estomac afin d'affronter ces longues lignes droites.
Le spectacle qu'il y a avec (la mère et ses enfants) est inclu dans le prix du repas.
C'est cette piste vers Attapeu que j'hésitais à prendre histoire de briser la monotonie de la route mais les cyclo voyageurs m'ont dit qu'il y avait de nombreux passages difficiles. En plus, ça me rallonge énormément en temps. Je prendrais de la piste plus loin.
Je visite le site de Champassak. Il date d'une période antérieure aux sites d'Angkor au Cambodge.
Je rencontre un groupe d'amis japonais qui faisaient là leur voyage de fin d'études. Je ferai la visite avec eux.
Le fameux V de la Victoire fait avec les doigts de celui qui est derrière moi se transforme en oreilles de lapin.
Un peu à l'écart de se site, d'autres plus petits et moins impressionnant sont très sympa à aller voir tout de même.
Aucun touriste ici, juste quelques animaux.
Voici la piste qui y mène.
Retour vers la route principale, de l'autre côté du Mékong.
Super souvenir de fin de journée avec ces enfants.
Les enfants de mon hôte de ce soir.
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Retour sur la terre ferme.
Je retrouve également les mêmes lignes droites monotones. Je vais bifurquer environ 150 kms avant Vientiane. Encore 650 kms comme ça, trop bien !
Heureusement qu'il y a quelques animations sur le chemin.
Un couple de cyclistes hollandais venant de la piste que je pensais prendre. Ils m'en ont dissuadé !
Et comme au Cambodge, les enfants sont partout. Ils sont les éguailleurs de route !
Un bon petit riz gluant, rien de tel pour caller l'estomac pour la nuit.
Je trouve cette famille qui veut bien me laisser dormir devant chez elle pour la nuit.
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Aujourd'hui, je pars me balader dans l'île (Don Det) et sa voisine.
Je rencontre une belge très sympa avec qui je déjeune.
On se prend un verre avec les français et un local.
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Au réveil sous la maison.
Lever de soleil pour mon départ. J'aime vivre avec le soleil, le rythme est sain et comme les journées se terminent à 18h et se commencent à 6h, j'ai le temps de bien récupérer.
Dernière ligne droite avant la frontière.
La frontière est en reconstruction.
Pour le passage, la corruption est de mise. Il faut payer 1 dollar pour je ne sais quel papier et ajouter 1 dollar car on est en week end (directement dans la poche, bien sûr). Ca m'énerveeeeeeeeeee ! Ils se sont fait plaisir avec le bus de 50 touristes qui est arrivé après moi.
Le roi du bus est plutôt malenpoint.
Je planifie de me poser un peu dans ce joli lieu touristique qu'est "4000 îles" sur le Mékong.
Je rencontre Pierre dans le bungalow où je dors. C'est un français qui préfère passer l'hiver en Asie du Sud Est plutôt que de chauffer sa maison en France.
Dans ce basique bungalow, l'électricité arrive quand même à alimenter mon ordi.
La vue n'est pas dégueu !
On finit la soirée à discuter avec Véronique et Toshi, un japonais.
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